Le grand marin – Catherine Poulain

Avec ce premier roman on embarque pour un voyage totalement inédit à la suite de Lili/Catherine, jusqu’aux confins du monde, tout au bout de l’Alaska, un monde rude, un monde d’hommes, un monde où la nature est reine… Sujet au mal de mer, s’abstenir !

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« Respirez, accrochez vous et embarquez ! Catherine Poulain raconte la vie d’une jeune Française à bord des palangriers d’Alaska et emporte le lecteur dans une histoire singulière et passionnante sur la condition humaine. Ce petit bout de femme Lili (le moineau), qui fuit la France et son passé, se jette aveuglément dans un monde presqu’exclusivement masculin (Je dirais même misogyne) de la pêche à la morue et au flétan dans les eaux glacées du pôle. Cette auteure a écrit son premier suite à son expérience (la pêche pendant une dizaine d’années). Une aventure magnifique qui nous emporte sur les flots, de bateau en bateau, de skipper en équipage de marins, de bar en bar, aussi, faisant fi de tous les dangers. Une belle plume qui transforme les murmures de Lili en déferlantes, en écume de mots où le lecteur plonge pour retrouver la vague de la vraie vie ; Ouvrez LE GRAND MARIN, respirez, accrochez-vous au bastingage et laissez-vous emporter… Et une fois arrivés à KODIAK, la ville de toutes les froidures, vous rembarquerez immédiatement ! » – Muriel Pautet
« Il fut un des premiers de la sélection de janvier des 68 premières fois et tout de suite fusèrent des chroniques élogieuses. Puis les médias s’y mirent à leur tour.
Quand on me demanda : « Lequel veux-tu absolument recevoir ? ». Ce fut celui-là. Qui arriva sitôt d’ailleurs mais en même temps que d’autres. Et là, de peur d’être déçue, par manque d’entrain pour le sujet au bout du compte, je reculais le moment de l’ouvrir.
Puis vint un soir… Et là vint l’éblouissement, les larmes aux yeux, la joie qui transporte. Le style lumineux qui emporte entre accents doux et violents. Je le serre sur mon cœur comme pour m’en imprégner. Il m’emmène au bout du monde. Il me rend saoule de sensations, d’images. Une grande vague qui me coupe le souffle. J’ai aimé un livre. Il est fini. Je me sens orpheline. Il faut laisser partir Lili.
Un grand livre que ce Grand Marin. Un que je vais acheter et poser religieusement dans la bibliothèque des sacrés. Celle des livres que je relirai inlassablement. » – Natacha Rousseau
« En ouvrant ce livre c’est le vent, les embruns qui frappent au visage, l ‘odeur tenace des filets qui prend dans ses rets. Une fuite pour se retrouver, se reconstruire dans le dépassement de soi, face à la souffrance, à la violence des mers et des hommes. Un beau texte comme un ciel d ‘orage, un ciel de rage, immuable et changeant, on ne se lasse pas de la monotonie de la mer, des gestes répétés inlassablement, on les vit Les regards sont rivés à la mer, les mains accrochées aux verres, dans ce pays de glace l’humanité se replie au fond des yeux, au fond des gorges, la tendresse filtre à travers ces cœurs plombés, ces rêves retenus » – Christiane Arriudarre
Et toujours les chroniques des blogueurs lecteurs :

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